Green Line
Le film s'ouvre sur un récit avec des figurines animées dans des décors miniatures reconstituant l'enfance de Fida pendant la guerre. Il bascule ensuite vers un style documentaire avec une série de confrontations réelles entre Fida et d'anciens miliciens manipulant les petites figurines. Le matériau miniature devient un pont entre différentes histoires subjectives, infusant l'histoire collective de détails individuels. L'expérience de cet espace de confrontation s'avère cathartique. Le récit évolue entre réalités et temporalités.